SECRÉTARIAT DE REAFJ
Représentants officiels des États membres
Réseau euro-arabe de formation judiciaire (REAFJ) et renforcement de l'état de droit
palabra del director general
S. E Juge Dr Jamal Haroun,

La magistrature est une profession sacrée et un noble message. Le travail des juges est issu du travail des apôtres.
La coopération judiciaire en matière de formation entre pays européens et pays arabes a toujours été consolidée par des traités et accords internationaux, soit bilatéraux ou multilatéraux. Un soutien supplémentaire à nos systèmes judiciaires euro-arabes peut être abordé plus efficacement en reliant les écoles nationales et les instituts spécialisés dans les questions de formation judiciaire, travailler ensemble de manière décentralisée et formelle pour faciliter la mise en œuvre pratique d’un cadre international de formation à la coopération judiciaire et accélérer le mécanisme d’appui à la formation de la communauté judiciaire. C’est pourquoi REAFJ a été créé pour coopérer de manière plus régulière par le biais de points de contact; qui sont des juges, des procureurs ou d’autres praticiens des autorités judiciaires nationales. En conséquence, les points de contact REAFJ bénéficient d’un accès direct aux systèmes judiciaires nationaux au sein du réseau à l’échelle mondiale. Les États membres s’efforcent d’améliorer leurs ressources pour coopérer et partager leurs progrès avec d’autres pays, pour fournir des informations accessibles et directes sur la formation nationale, tout en simplifiant les procédures de coopération en matière de formation judiciaire internationale et en établissant des outils de formation efficaces qui favorisent l’échange de connaissances et d’expertise internationales. Parallèlement, les points de contact de tous les États membres présentent les mécanismes, outils et programmes de formation les plus avancés et les adaptent à la réalité de chaque communauté judiciaire des États membres au sein du Réseau euro-arabe de formation judiciaire, évaluer l’adaptation des structures existantes aux progrès méthodologiques et technologiques communs en matière de formation. A travers divers ateliers et réunions organisés jusqu’à présent, les résultats ont été extrêmement positifs, établissant un catalogue de recommandations, de bonnes pratiques et jetant les bases d’une mise en œuvre réussie d’un outil international pratique en matière de formation judiciaire, lorsque les systèmes nationaux de formation judiciaire sont adaptés à l’application de la stratégie et du plan de formation de REAFJ. Il s’agit d’une tâche difficile et ambitieuse qui est la pointe de l’iceberg lorsqu’il s’agit de déployer des mesures de formation collatérale, des réunions et une assistance spécialisée, qui ont toutes été facilitées en permettant le traitement de nombreux autres actes de coopération internationale en matière de formation judiciaire, déterminer les besoins futurs en matière de soutien des points de contact et des représentants officiels nationaux. A cet égard, la Convention des Nations Unies contre le Crime organisé, qui a été adoptée par la résolution nr. 25/55 de l’Assemblée générale des Nations Unies du 15 novembre 2000, est le principal instrument international de lutte contre le crime organisé. Le crime organisé transnational est considéré comme l’un des plus grands défis auxquels le monde est confronté, ce qui oblige le monde à oeuvrer pour le combattre. Le processus de formation judiciaire et de coopération judiciaire conjointe ne se limite pas aux questions pénales et à la criminalité organisée, mais s’étend à toutes les branches du Droit, y compris les Droits de l’Homme, les questions exécutives et organisationnelles et l’application effective des dispositions de la loi. Le plus grand défi dans le processus de qualification et de formation des juges au niveau international réside dans le processus de coordination de la coopération entre les pays et de la coordination du travail entre les institutions de formation judiciaire de chaque pays avec le reste des institutions de formation judiciaire des autres pays, de sorte que ces institutions fonctionnent comme une seule institution de formation. Il est à espérer que le Réseau euro-arabe pour la formation judiciaire, en tant que réseau de formation judiciaire composé d’un certain nombre d’institutions publiques de formation judiciaire dans les États membres de l’Union européenne et les États membres de la Ligue des États arabes, travaillera avec diligence et de manière efficace pour réaliser les tâches mentionnées à l’article 3 de son statut, ainsi que les travaux pour la réalisation des activités du Réseau mentionnées à l’article 4 de son statut. Je suis confiant et certain que le Réseau est un outil précieux et une plate-forme pour les juges des États membres et pour les autres juges du monde entier. Il est en mesure de continuer à travailler et d’avancer dans l’échange d’informations et de développements judiciaires avec les membres du Réseau et les autres juges du monde entier. Je souhaite au Réseau et à ses États membres ainsi qu’à toutes les institutions de formation judiciaire dans le monde davantage de progrès et de prospérité.Juge Dr Jamal Haroun
Secrétaire Général du Secrétariat Permanent
Réseau Euro-arabe de formation judiciaire
REPRÉSENTANTS NATIONAUX OFFICIELS DE REAFJ
LA COMMUNAUTÉ JUDICIAIRE DE REAFJ
Juge Dr Jamal Haroun
Jordanie
Juge Jorge Jiménez Martín
Espagne, Barcelone
Maria Abigail Fernandez
Espagne, Madrid
Abdelkrim Djadi,
Algérie
Nathalie Roret
France
Conseiller Dr.
Mohamed al kamali
Émirats arabes unis
Dr. Ibtisam Al-Badwawi
Émirats arabes unis
Judge Hani Muhammad Al-Hamdan
Koweït
Conseiller
Abdelhanin Touzani
Marco
OFFICIEL NATIONAL
REPRÉSENTANTS À
REAFJ
Professeur
Dr Raf Van Ransbeeck
Belgique
Alessandra Fraiegari
Italie
Giorgio Lattanzi
Italie
Professeur
Ahmed Al Yahyaoui
Tunisie
Juge Simona-Camelia Marcu
Roumanie
Judge Belal Abu Hantash
Palestine
M. Gerard Tangenberg
Pays-Bas
M. Remco van Tooren
Pays-Bas
Fatin Mohsin Hadi
Irak